En matière d'empreinte environnementale

il n'y a de vraie mesure que globale

Glimpact Scan
il n'y a de vraie mesure que globale

La crise environnementale n’est pas que climatique, elle est systémique. Évaluer un impact environnemental, c’est aller bien au-delà des émissions de carbone, c’est évaluer toutes les catégories d’impact de l’activité humaine : son effet sur le réchauffement climatique mais aussi sur l’eau, sur la qualité de l’air et des sols, sur la couche d’ozone… En somme, sur toutes les ressources fondamentales à la biodiversité et à la vie sur terre.

À travers sa technologie digitale fondée sur la seule méthode scientifiquement reconnue par l’Union Européenne, ses applications grand public et ses solutions pour les entreprises, Glimpact permet à chacun de mesurer son impact environnemental global et de découvrir comment le réduire efficacement.

Glimpact prend en compte

toutes les catégories d'impact

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toutes les catégories d'impact

En se fondant sur la méthode PEF (Product Environmental Footprint), mise au point par la communauté scientifique sous l’égide de la Commission Européenne, Glimpact analyse l’impact de tout produit au regard des 16 catégories d’impact environnementaux : changement climatique, émission de particules fines, épuisement des ressources en eau, épuisement des ressources fossiles et minérales non renouvelables, usage des terres, appauvrissement de la couche d’ozone, acidification des sols, radiation ionisante, formation photochimique d’ozone, eutrophisation terrestre, marine et de l'eau douce, toxicité humaine cancérigène et non cancérigène, éco toxicité de l’eau douce…

Pour chacune d’elles, des modes de caractérisation des impacts sont précisément définies et s’appliquent à toutes les étapes du cycle de vie des produits (des matières premières jusqu’à la fin de vie). La méthode PEF pondère enfin les résultats sur ces différentes catégories d’impact pour obtenir un score environnemental global et lisible ; le seul qui vaille parce qu’il permet de comparer objectivement les produits entre eux.

Cette méthode de calcul scientifiquement rigoureuse est, depuis le 25 avril 2024, la seule méthode reconnue pour tous les pays de l’Union Européenne en matière d’empreinte environnementale et d’éco-conception.

La boussole qui manquait à

une vraie transition écologique

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une vraie transition écologique

Avec la généralisation de la méthode PEF comme cadre de référence des nouvelles réglementions européennes, enfin une seule et même méthode de calcul de l'empreinte environnementale des produits et des organisations pour tous les pays de l’Union ; enfin une seule et même méthode rigoureuse scientifiquement prenant en compte l'empreinte environnementale globale dans toutes les dimensions permettant d'appréhender les limites planétaires. Fini donc les allégations environnementales autoproclamées. 

Fini la possibilité de se prévaloir écologiquement responsable à travers un seul critère environnemental. Fini à tout ce qui fait le lit du greenwashing : les préjugés simplistes, analyses partielles et jugements hâtifs, établis sans perception des ordres de grandeur. Fini la possibilité d'occulter certaines étapes de la vie d'un produit. En modélisant les exigences de la méthode PEF, Glimpact apporte aux entreprises, aux journalistes et aux citoyens des outils de mesure de l'impact environnemental dans sa globalité, sans possibilité d'angle mort. 

On ne voit pas la même chose

avec un point de vue global

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avec un point de vue global

Mesurer l'impact de façon globale permet de tordre le coup à nombre de préjugés simplistes et de jugements hâtifs, établis sans perception des ordres de grandeur. Observer les choses de façon globale permet par exemple de se rendre compte, contrairement à ce que l'on peut penser :

- qu'une bouteille en plastique PET a un bien moindre impact environnemental qu'une bouteille en verre à usage unique (en raison de la quantité d'énergie nécessaire pour refondre le verre)
- que le « lait végétal » à base d'amandes à un bien plus fort impact que le lait de vache (essentiellement en raison de la quantité d'eau nécessaire à la production des amandes)
- que ce n'est pas le transport (même depuis l'Asie) qui fait l'impact d'un vêtement mais surtout la fibre utilisée pour le produire et certains process industriels, au premier rang desquels la teinture ou encore le tissage
- que l'été à Madrid, il vaut mieux manger des tomates françaises qu'espagnoles (en raison du stress hydrique touchant une grande part des régions agricoles espagnoles...)

Bref, les bons arbitrages ne peuvent se fonder sur des jugements simplistes mais nécessitent une analyse prenant en compte toutes les composantes de la crise environnementale.

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